8 Comments

  1. ericB
    11 novembre 2013 @ 14 h 12 min

    Sauf que lorsque la graisse du wagyu fond, je trouve ça vraiment écoeurant… T’as quasiment l’impression d’un foie gras poêlé.

    Reply

  2. ericevreux
    11 novembre 2013 @ 14 h 14 min

    Sauf que lorsque la graisse du Wagyu cuit, je trouve ça vraiment écoeurant. C’est sous forme de « jambon cru » que je l’ai préféré.

    Reply

  3. Le coin du donneur de leçons | The fishe...
    11 novembre 2013 @ 18 h 02 min

    […] Le paradoxe de la viande persillée : son goût ne s’exprime que bien cuite ! C’est bien l’un des contresens les plus répandus de la « chic planète food » depuis que le bœuf wagyu est entré dans les …  […]

    Reply

  4. pascal
    15 novembre 2013 @ 15 h 19 min

    a la cuisson saignante le gras fond déjà et plus la viande est cuite moins il y a de sucs pas d’accord pour la cuisson saignante après les gout ne se discute pas et un bon mangeur de viande ne mangera jamais une entrecôte bien cuite

    Reply

    • gretagarbure
      18 novembre 2013 @ 23 h 11 min

      Ça dépend quand même du morceau, de son épaisseur et de son degré de persillage.
      Et tous les amateurs de viande n’ont pas forcément un goût unique !

      Reply

  5. La chronique de Greta Garbure |
    1 janvier 2014 @ 0 h 38 min

    […] • 11 novembre : Le coin du donneur de leçons : Le paradoxe de la viande persillée : son goût ne s’exprime que bien cuite ! http://gretagarbure.com/2013/11/11/le-coin-du-donneur-de-lecons-3/ […]

    Reply

  6. mmaurou
    11 novembre 2015 @ 20 h 04 min

    pour une tendreté et un arôme, la maturation joue aussi un rôle

    Reply

  7. mmaurou
    11 novembre 2015 @ 20 h 06 min

    la maturation a son rôle aussi concernant la tendreté et le goût

    Reply

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *