No Comments

  1. Michel Smith
    15 juin 2015 @ 7 h 42 min

    Ça m’a l’air bien bon, tout cela. Mais si tu pouvais suggérer à Rosalia (j’adore ce prénom !) qu’elle laisse tomber les virgules et autres points d’exclamation qui composent le décor de ses assiettes, je pense que ça l’aiderait à progresser. Le produit avant tout !

    Reply

    • gretagarbure
      15 juin 2015 @ 8 h 25 min

      Tu as parfaitement raison, Michel. D’ailleurs, j’ai rajouté une phrase à mon papier.
      Mais la tentation est grande pour les jeunes chefs de copier les tics qu’on leur apprend à l’école — parce qu’on leur apprend — et dont même des grands chefs ne réussissent pas à se départir.

      Reply

  2. Gourmandise SF (@nadasto)
    15 juin 2015 @ 8 h 29 min

    ça m’a l’air bien bon mais je suis toujours effarée par les prix « parisiens » tels que je les lis sur vos photos 😉

    Reply

  3. Manuel Mariani
    5 avril 2016 @ 3 h 38 min

    Chère Blandine.
    Comme tu t’en doutes peut-être (ou pas ?), je suis un lecteur régulier de ton blog, mais je n’avais jamais prêté attention à ton article sur La Cicciolina. En l’espèce, je n’ai d’ailleurs aucun commentaire à faire sur cette trattoria, car je n’y ai jamais mangé.
    J’intervenais juste pour te dire (avec un soupçon de nostalgie) que juste avant ce revival transalpin, cet établissement fut ma propriété pendant quelques années, à l’époque nommée « Histoire de… » : une jolie table fusion, qui revisitait les standards de la cuisine traditionnelle avec quelques pincées d’épices du monde entier, et qui proposait quelques très grandes bouteilles à prix d’ami (genre un Listrac-Medoc, Chateau Lestage 2001 à 20€ la boutanche) dans une extension de la carte des vins intitulée « Carré V.I.P. » (pour Very Important Pinards).
    Dès que je commets à nouveau la folie de racheter une auberge, c’est promis : je t’invite avec Patrick !

    Reply

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *