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  1. by acb 4 you
    10 mai 2013 @ 9 h 33 min

    Et bien j’ai appris quelque chose, merci! Je vais réviser mes appelations!

  2. Stéphane
    10 mai 2013 @ 10 h 11 min

     » On est dans le Sud-Ouest, pas en Provence ni en Catalogne ! »
    Bin oui, si on commençait par respecter les particularisme et les produits des régions pour en faire les recettes, cet article n’aurait même pas besoin d’être publié. Mais il en est tout autrement, les chroniques de Greta Garbure sont d’utilité gastronomico-publique!

  3. Reconnaissance du ventre |
    24 septembre 2013 @ 7 h 02 min

    […] Pour l’appellation « à la basquaise », voir notre article : http://gretagarbure.com/2013/05/10/appellations-culinaires/ […]

  4. txomin
    17 février 2014 @ 11 h 37 min

    En hego-alde (pays basque sud)les cuisinier (e)s utilisent pratiquement que de l’huile d’olive.

  5. Appas5
    21 juillet 2014 @ 11 h 30 min

    Je partage le point de vue de Blandine les appellations ont toujours été un motif d’énervement pour moi lorsqu’elles sont inexactes. Lorsqu’on soutient devant moi que la « Côte d’Azur » commencerait à Cannes et se terminerait à Menton ; qu’à Hyères se situerait le premier palmier de la « Côte d’Azur » ou qu’à Vidauban on ait pu inscrire Porte de la Côte d’Azur, cela m’est insupportable. Le premier qui ait employé le terme Côte d’Azur était un bourguignon-voyageur de la fin du XIXè qui s’appelait Stéphen Liégeard et qui dans son livre La Côte d’Azur, écrit en 1887, la faisait partir de Marseille et se terminer à Gênes pour une bonne raison c’est que ce littoral bénéficie, grâce au climat, d’un ciel d’Azur. On peut estimer que c’est exagéré, dépassé etc… mais même pour un mécréant comme moi le baptême c’est sacré.
    Chez mes confrères restaurateurs combien de « salades niçoises » qui ne sont qu’un mélange plus ou moins heureux de légumes avec un assaisonnement sans huile d’olive ! De pêche Melba où seule la pêche demeure ; de l’aïoli avec des langoustes ; d’une friture de poissons aux seuls éperlans etc… etc… Le fin du fin c’est l’appellation « véritable » ou « vraie » suivi du nom d’un plat : la « véritable » bouillabaisse ; le « vrai » aïoli etc… etc…
    Non seulement c’est un manque de culture, mais une aberration et parfois même une tromperie… une publicité mensongère. Pour certains restaurateurs peu scrupuleux on préfère raconter des salades.
    Par contre je ne suis pas certain que, comme le dit Blandine, « l’huile d’olive ne soit pas la matière grasse « logique » du Pays Basque », seul un historien pourrait nous le confirmer, mais je pense que l’olivier s’est répandu en Occitanie et en Espagne avant le canard ou l’oie.

  6. gretagarbure
    21 juillet 2014 @ 13 h 54 min

    Merci pour votre commentaire.
    Pour l’huile d’olive, je persiste, en tout cas pour le Pays basque français où il n’y a guère d’oliviers, pas plus qu’en Béarn, d’ailleurs.
    Et pour avoir vécu là-bas dans les années 80 et jusqu’au milieu des années 90, l’huile d’olive était d’usage tout à fait anecdotique dans la région, tout comme elle l’était encore à Paris il y a 25 ans !

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