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  1. elisabethpaultakeuchi
    20 août 2013 @ 8 h 42 min

    A reblogué ceci sur elisabethpaultakeuchi and commented:
    Conscience professionnelle

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  2. Pascual
    20 août 2013 @ 8 h 57 min

    Et que dire de la « Cannette aux olives »…

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  3. Jean Bart
    20 août 2013 @ 9 h 21 min

    Une erreur courante: prétendre que l’on fait de la cuisine voire de la gastronomie (pourquoi être modeste) alors qu’on ne fait que de la restauration.

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  4. Frédérique
    20 août 2013 @ 10 h 24 min

    Oh pour moi la plus fréquente est pourtant (dans la restauration de rue car rarement à la carte au restaurant, je vous l’accorde) la « gaufre » orthographiée GauFfre … Cela l’écorche les yeux quotidiennement! À Paris ou en vacances …

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  5. Frédérique
    20 août 2013 @ 10 h 25 min

    Oh pour moi la plus fréquente est pourtant (dans la restauration de rue car rarement à la carte au restaurant, je vous l’accorde) la « gaufre » orthographiée GauFfre … Cela m’écorche les yeux quotidiennement! À Paris ou en vacances …

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  6. porret
    20 août 2013 @ 13 h 17 min

    Bonjour a vous , defenseur de l’orthographe gastronomique de notre pays !!! je suis chef de cuisine et votre article me fait reagir de facon presque epidermique … Ne croyez vous vous pas, a l’heure des scandale a repetition sur la viande, les produits laitiers ou les fruits et legumes, sur les quantité de « restaurant » qui ne fabrique plus mais achete leur produits sous vide, surgelé , de la quantité de produits industrielle qui pollu le gout de nos enfant, vous pouriez peut etre nous lachez un peu avec vos « GRIL », « Poivres de Cayenne » et autres enfantillages pour vous consacrer un peu a l’essentielle : CE QUE VOUS AVEZ REELEMENT DANS VOTRRE ASSSIETTESS !!!
    ps : je suis persuadé que vous lirez , relirez mon commentaires . Comment je le sais , je vous est laisser une tonnes de fautes pour vous occuppé

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    • gretagarbure
      21 août 2013 @ 13 h 59 min

      Cher Arnaud,
      ce magazine, qui fait paraître un nouvel article tous les jours, se fait un plaisir autant qu’un devoir de dénoncer les dérives, les excès, les scandales, les abus. Nous stigmatisons certains comportements, applaudissons à d’autres. Certains cuisiniers nous séduisent plus que d’autres, certains vignerons nous impressionnent plus que d’autres. Les contingences de votre métier vous empêchent malheureusement de prendre le temps de lire quotidiennement les écrits de Greta Garbure. Pourtant, soyez certains que tous les sujets que vous évoquez dans votre commentaire ont été traités dans un passé très récent.
      En souhaitant que nos efforts se conjuguent pour plus de qualité et de rigueur, en cuisine comme en salle, chez les chefs comme chez les clients et comme chez les journalistes…!

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  7. Vaysse
    20 août 2013 @ 19 h 00 min

    Monsieur pensez à pousser les choses vers le haut, et non vers le bas! Les termes culinaires (si vous avez fait l’école hôtelière vous devez le savoir) ont leur importance pour justement éviter la tromperie. Et ce qu’il y a dans l’assiette est une image du sérieux, du professionnalisme et de la passion du cuisinier et de l’établissement. Si vous ne faites pas la différence entre un poivre et un piment ou une dorade et une daurade je m’inquiète justement de ce qui va arriver ensuite dans ma prochaine assiette.
    Le problème reste éternel et sourd de la part de nos têtes pensantes: il faut rendre obligatoire au minimum un CAP pour ouvrir un restaurant.
    Il faut un CAP pour ouvrir un salon de coiffure et rien pour un restaurant, cherchez l’erreur!

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  8. Mike Tommasi
    20 août 2013 @ 20 h 53 min

    Désolé, en italien on écrit « ossobuco », pas « osso buco »…

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    • gretagarbure
      20 août 2013 @ 23 h 22 min

      Mike, vous avez raison, en italien on écrit « ossobuco » d’un seul tenant. Quand on l’écrit en 2 mots, ce n’est plus le plat mais l’os à moelle. En revanche, on peut l’écrire en deux mots en français. Mais que ce soit en italien ou en français : un seul C ! Cordialement.

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  9. rosado
    21 août 2013 @ 8 h 17 min

    D’accord pour cela mais si déjà nous pouvions trouver des plats conforme aux recettes cela serait déjà pas mal.

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  10. Théo
    23 août 2013 @ 9 h 13 min

    Le Larousse de la gastronomie parle de Noix de muscade également. Qui donc a tort ?

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  11. larotisseriedespoetes
    23 août 2013 @ 9 h 14 min

    Le Larousse de la gastronomie parle de Noix de muscade lui aussi. Qui donc a tort ?

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  12. Philippe Schroeven
    27 août 2013 @ 15 h 20 min

    Soulignons aussi le scampi qui est une langoustine et non une grosse crevette ….

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  13. La chronique de Greta Garbure |
    1 septembre 2013 @ 7 h 03 min

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  14. Mag à l'eau
    10 septembre 2013 @ 16 h 43 min

    @Vaysse, c’est un BP (brevet professionnel) qu’il faut pour ouvrir un salon de coiffure 😉
    Quant au CAP de cuisine, il est d’un niveau très bas. Certes les diplômés connaissent des mots et expressions peu usités (comme « historier »), mais pour la plupart leur connaissance des produits, et de l’orthographe, est vraiment restreinte. Alors que de nombreux autodidactes, passionnés, ont des connaissances et un savoir-faire impressionnants.
    @larotiseriedespoetes, dans le Larousse gastronomique de 1936, ainsi que dans le Larousse des produits du marché, on trouve bien « noix muscade » et même encore plus simple, « muscade ».
    @gretagarbure, certes « du piment de Cayenne », mais « du cayenne », sans majuscule, comme « du bordeaux » !

    Et je vais ajouter mon grain de sel. Depuis quelques années, de nombreux auteurs et blogueurs culinaires nous parlent d’ustensiles et de produits « versatiles », employant cet adjectif dans le sens qu’il a en anglais (et dans d’autres langues je crois). Mais en français on doit parler d’un « ustensile polyvalent » ou d’un « produit se prêtant à de nombreuses préparations ». C’est un peu long, mais c’est comme ça.

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    • Charlotte Cafre
      17 novembre 2013 @ 19 h 42 min

      Juste une précision, le cayenne s’écrit sans majuscule justement parce qu’il ne s’agit pas de la ville. De même que l’on boit un bordeaux ou que l’on déguste un munster. Charlotte

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  15. La chronique de Greta Garbure |
    1 janvier 2014 @ 0 h 38 min

    […] erreurs les plus courantes — et récurrentes — sur les cartes de restaurants… et ailleurs ! http://gretagarbure.com/2013/08/20/le-coin-du-donneur-de-lecons-2/ • 7 octobre : Appellations culinaires : Le jambon « Pata Negra » ça n’existe pas ! […]

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  16. dalichoux
    12 janvier 2014 @ 9 h 41 min

    Vu sur une carte : carpaccio au basilique !!!!!!!!!!!!!!

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  17. Déjeuners de presse |
    10 février 2015 @ 7 h 01 min

    […] Nous poursuivons avec une darne de turbot pochée, beurre blanc et petits légumes confits absolument parfaite si ce n’est que je tique sur l’appellation « darne » qui n’est pas simplement un morceau de poisson — aussi noble et joliment taillé soit-il — mais une tranche épaisse avec sa peau, comme je vous l’expliquais ici : http://gretagarbure.com/2013/08/20/le-coin-du-donneur-de-lecons-2/ […]

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