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  1. LEVY
    29 juillet 2013 @ 8 h 38 min

    C’est bien, c’est intéressant, mais un peu court. En soi, le négoce de vins, puisque c’est celui qui transparaît avec votre photo) n’est pas condamnable, il n’y a pas de nécessité à ce que l’achat au négoce soit de moins bonne qualité que l’achat direct par exemple, pour tout produit alimentaire (car le vin n’est pas seul en cause ici). Si on entend pas négoce le fait d’acheter un produit pour le revendre (quel que soit la forme prise par ce « négoce » : achat en gros de millions de bouteilles, de tonnes de marchandises, ou achat par 120 bouteilles d’un caviste-revendeur, ou d’un veau de lait par un boucher-abatteur) négoce et qualité ne peuvent être opposables. Nous connaissons tous des négociants (en vins, en viande, en poisson etc.) ayant une haute idée de leur métier, avec tout ce que cela implique de responsabilité dans le choix de l’approvisionnement : écologique, sociale, en plus de la fraîcheur pour les périssables. D’autres ont pour unique boussole la marge qu’ils vont dégager, quitte à sacrifier un ou plusieurs des critères ci-dessus, voire tous. Hélas, cela n’est pas écrit sur la porte ou sur la figure du « négociant ». Seules, la vigilance, l’exigence, la responsabilité de l’acheteur peuvent lui assurer que son achat répondra aux meilleurs critères de qualité.

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  2. CHABAUD Raymond
    29 juillet 2013 @ 19 h 35 min

    angélisme…. « la vigilance, l’exigence, la responsabilité » d’un acheteur manipulé par la communication…. Cessons de communiquer, nous nous en porterons mieux….

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