Calmars, seiches et poulpes : ils ont les pieds sur la tête !
Je ne sais pas si c’est parce que le calmar symbolise le métier de l’écrivain — au sens où il contient l’encre et la plume (son nom latin signifie d’ailleurs « écritoire ») — mais c’est sans doute l’un de mes aliments préférés (en comptant sur les doigts d’une main). J’en mangerais sur la tête d’un pouilleux, comme on dit ! Euh ! P’têtre pas, quand même…
Enfin, lui et toute sa grande famille : chipirons basques, supions charentais, calmars et seiches de toutes tailles, cuisinés à la plancha, frits à la romaine, mijotés à l’encre, farcis… et même crus lorsqu’il s’agit de ces petites pistes que l’on déguste à Sète chez « The Marcel”.
Et quand il est bien préparé, comme dans les restaurants grecs de « Mavrommatis » à Paris, comme le chatrou en Martinique, comme la daube de poulpe au vin rouge ou, bien évidemment, la tielle sétoise dont nous vous dévoilerons un jour tous les secrets, j’aime tout autant le poulpe !
Pour tout savoir sur cette drôle de smala qui a les pieds sur la tête — d’où leur nom de céphalopodes ! — c’est ici : http://gretagarbure.com/2013/07/18/reconnaissance-du-ventre-23/